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NePleure Pas ╼ Si Tu M'aimes. ΛηΛsтΛsiΛÒș CÒșΛηηДl. Suivre. il y a 7 ans. Partage d’un message que j'ai reçu de l’au - delĂ  , d’une Ăąme aidĂ©e a rejoindre la LumiĂšre..! « La distance quelque qu’elle soit n’est pas un obstacle Ă  l’union des Pleurepas. T'as les yeux trop beaux pour? A. Pleure pas, Ou bien moi, je pleure avec toi. Pleure pas. Mon pauvre grande, j'peux pas voir? A! Tais-toi. Nepleures pas si tu m'aimes La mort n'est rien. Je suis seulement passĂ© de l'autre cĂŽtĂ©. Je suis moi. Tu es toi. Ce que nous Ă©tions l'un pour l'autre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m'as toujours donnĂ©. Parles-moi comme tu l'as toujours fait. N'emploie pas un ton diffĂ©rent. Ne prends pas un air solennel ou triste. Situ m’aimes, montre-le-moi, mais pas avec des mots ; avec des actes. Ces belles paroles qui sortent de ta bouche pour le plaisir de mes oreilles ne me servent Ă  rien. N’essaie pas de me berner. Si tu m’aimes vraiment, montre-le-moi avec des actes. Dans le monde du couple, ou plutĂŽt des illusions du couple, les dĂ©ceptions et les Nepleure pas si tu m’aimes ! Si tu savais le don de Dieu et ce c’est que le Ciel ! Si tu pouvais d’ici, entendre le chant des Bienheureux, et me voir au milieu d’eux ! Si tu pouvais voir se dĂ©rouler sous tes yeux les immenses horizons et les nouveaux sentiers oĂč je marche ! Si, un instant, tu pouvais contempler comme moi la BeautĂ© Cite De Rencontre Gratuite Pour Homme. Tu es le soleil Ă©clatĂ© de l'Amour du pĂšre Seigneur crucifiĂ© et ressuscitĂ©, Apprends-nous Ă  affronter Les luttes de la vie quotidienne, Afin que nous vivions Dans une grande plĂ©nitude. Tu as humblement et patiemment accueilli, Les Ă©checs de la vie humaine Comme les souffrances de la crucifixion. Alors les peines et les luttes Que nous apporte chaque journĂ©e, Aides-nous Ă  les vivre Comme des occasions de grandir Et de mieux te ressembler. Rends-nous capable de les affronter, Plein de confiance en ton soutien. Fais nous comprendre Que nous n'arrivons Ă  la plĂ©nitude de la vie Qu'en mourant sans cesse Ă  nous mĂȘmes Et en nos dĂ©sirs Ă©goĂŻstes. Car c'est seulement en mourant avec Toi Que nous pouvons ressusciter avec Toi. Que rien dĂ©sormais Ne nous fasse souffrir ou pleurer Au point d'en oublier la joie de ta rĂ©surrection. Tu es le soleil Ă©clatĂ© de l'amour du pĂšre, Tu es l'espĂ©rance du bonheur Ă©ternisĂ© Tu es le feu de l'amour embrasĂ©. Que la joie de JĂ©sus soit force en nous Et qu'elle soit, entre nous, lien de paix D'unitĂ© et d' communion des saints L'Union de ceux qui sont encore en chemin, avec leurs frĂšres qui se sont endormis dans la paix du Christ ne connaĂźt pas la moindre intermittence ; au contraire, selon la foi constante de l'Eglise, cette union est renforcĂ©e par l'Ă©change des biens spirituels... Car, admis dans la patrie et prĂ©sents au Seigneur, par lui, avec lui et en lui, ils ne cessent d'intercĂ©der pour nous auprĂšs du PĂšre. Ainsi leur sollicitude fraternelle est du plus grand secours pour notre dogmatique de l'Eglise, N° 49 Concile Vatican Vie n'est pas dĂ©truite mais transformĂ©e Par la mort, la famille ne se dĂ©truit pas, Elle se transforme, Une part d'elle va dans l'invisible. On croit que la mort est une absence, quand elle est une prĂ©sence secrĂšte. On croit qu'elle crĂ©e une infinie distance, alors qu'elle supprime toute distance, En ramenant Ă  l'esprit ce qui se localisait dans la chair. Que de liens, elle renoue, Que de barriĂšres elle brise, Que de murs elle fait crouler, Que de brouillard elle dissipe, Si nous le voulons bien. Plus il y a d'ĂȘtres qui ont quittĂ© le foyer, plus les survivants ont d'attaches cĂ©lestes. Le ciel n'est plus alors uniquement peuplĂ© d'anges, de saints connus ou inconnus et du Dieu mystĂ©rieux. Il devient familier, c'est la maison de famille, la maison en son Ă©tage supĂ©rieur, si je puis dire et du haut en bas, le souvenir, les secours, les appels se rĂ©pondent. L'invoquer dans les affaires embarrassĂ©es ou pour trouver du travail. PĂšre Sertillanges t'aime tel que tu es Voici que je me tiens Ă  la porte et que je frappe. C'est vrai ! Je me tiens Ă  la porte de ton coeur, jour et nuit. MĂȘme quand tu ne m'Ă©coutes pas, mĂȘme quand tu doutes que ce puisse ĂȘtre Moi, c'est Moi qui suis lĂ . J'attends le moindre petit signe de rĂ©ponse de ta part, le plus lĂ©ger murmure d'invitation, qui me permettra d'entrer chez toi. Je veux que tu saches que chaque fois que tu m'inviteras, je vais rĂ©ellement venir. Je serai toujours lĂ , sans faute. Silencieux et invisible, je viens, mais avec l'infini pouvoir de mon amour. Je viens avec ma misĂ©ricorde, avec mon dĂ©sir de te pardonner, de te guĂ©rir, avec tout l'amour que j'ai pour toi ; Un amour au-delĂ  de toute comprĂ©hension, un amour oĂč chaque battement du coeur est celui que j'ai reçu du PĂšre mĂȘme. Comme le PĂšre m'a aimĂ©, moi aussi je vous ai aimĂ©. Je viens, assoiffĂ© de te consoler, de te donner ma force, de te relever, de t'unir Ă  moi, dans toutes mes blessures. Je vais t'apporter ma lumiĂšre. Je viens Ă©carter les tĂ©nĂšbres et les doutes de ton coeur. Je viens avec mon pouvoir capable de te porter toi-mĂȘme et de porter tous tes fardeaux. Je viens avec ma grĂące pour toucher ton coeur et transformer ta vie. Je viens avec ma paix, qui va apporter le calme et la sĂ©rĂ©nitĂ© Ă  ton Ăąme. Je connais tout de toi. MĂȘme les cheveux de ta tĂȘte, je les ai tous comptĂ©s. Rien de ta vie est sans importance Ă  mes yeux. Je connais chacun de tes problĂšmes, de tes besoins, des tes soucis. Oui, je connais tous tes pĂ©chĂ©s, mais je te le redis une fois encore Je t'aime, non pas pour ce que tu as fait, non pas pour ce que tu n'as pas fait. Je t'aime pour toi mĂȘme, pour la beautĂ© et la dignitĂ© que mon PĂšre t'a donnĂ©es en te crĂ©ant Ă  son image et Ă  sa ressemblance. C'est une dignitĂ© que tu as peut-ĂȘtre souvent oubliĂ©e, une beautĂ© que tu as souvent ternie par le pĂ©chĂ©, mais je t'aime tel que tu le quand mĂȘme... Les gens sont souvent dĂ©raisonnables, illogiques et centrĂ©s sur eux-mĂȘmes, Pardonnes les quand mĂȘme... Si tu es gentil, les gens peuvent t'accuser d'ĂȘtre Ă©goĂŻste et d'avoir des arriĂšres pensĂ©es, Sois gentil quand mĂȘme... Si tu rĂ©ussis, tu trouveras des faux amis et des vrais ennemis, RĂ©ussis quand mĂȘme... Si tu es honnĂȘte et franc, il se peut que les gens abusent de toi, Sois honnĂȘte et franc quand mĂȘme... Ce que tu as mis des annĂ©es Ă  construire, quelqu'un pourrait le dĂ©truire en une nuit, Construis quand mĂȘme... Si tu trouves la sĂ©rĂ©nitĂ© et la joie, ils pourraient ĂȘtre jaloux, Sois heureux quand mĂȘme... Le bien que tu fais aujourd'hui, les gens l'auront souvent oubliĂ© demain, Fais le bien quand mĂȘme... Donnes au monde le meilleur que tu as, et il se pourrait que cela ne soit jamais assez, Donnes au monde le meilleur que tu as quand mĂȘme... Tu vois, en faisant une analyse finale, c'est une histoire entre toi et Dieu, cela n'a jamais Ă©tĂ© entre eux et TĂ©rĂ©sa de vous suffit Seigneur Il vous suffit, Seigneur, pour me guĂ©rir de m'Ă©clairer l'esprit sur ma demeure... je ne demande pas que ma demeure me soit prochaine. Je ne demande mĂȘme pas, Seigneur, que cette demeure me soit promise. La solitude, Seigneur, n'est fruit que de l'esprit s'il est infirme. Il n'habite qu'une patrie, laquelle est sens des choses. Ainsi, le temple quand il est sens des pierres. Il n'a d'ailes que pour cet espace. Il ne se rĂ©jouit point des objets, mais du seul Visage qu'on lit au travers et qui les noue. Faites simplement que j'aprenne Ă  lire. Alors, Seigneur, c'en sera fini de ma solitude. Antoine de Saint ExupĂ©ry Extrait de "Citadelle".Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonnĂ© ? Mon Dieu, le jour j'appelle et tu ne rĂ©ponds pas, la nuit, point de silence pour moi. Comme l'eau je m'Ă©coule et tous mes os se disloquent; mon coeur est pareil Ă  la cire, il fond au milieu de mes viscĂšres; mon palais est sec comme un tesson, et ma langue collĂ© Ă  la machoire. tu me couches dans la poussiĂšre de la mort; Toi, YahvĂ©, ne sois pas loin, ĂŽ ma force, vite Ă  mon aide!Extrait du psaume 21, Bible de JĂ©rusalem © cerfJe crie vers toi, Seigneur Des profondeurs, je crie vers toi, Seigneur; Seigneur, Ă©coute mon appel! Que ton oreille se fasse attentive Au cri de ma priĂšre ! Si tu retiens les fautes, Seigneur, Seigneur, qui donc subsistera? mais prĂšs de toi se trouve le pardon C'est alors qu'on te craint. J'espĂšre, Seigneur, mon Ăąme espĂšre, je compte sur ta parole, Mon Ăąme sur le Seigneur, plus qu'un veilleur sur l' du psaume 129. Bible de JĂ©rusalem © cerfQuelqu'un parmi vous souffre t-il ? qu'il prie ! Quelqu'un parmi vous est-il malade? Qu'il appelle les presbytres de l'Eglise et qu'ils prient sur lui aprĂšs l'avoir oint d'huile au nom du Seigneur. la priĂšre de la foi sauvera le patient et le Seigneur le relĂšvera. S'il a commis des pĂ©chĂ©s, ils lui seront remis. Confessez donc vos pĂ©chĂ©s les uns aux autres et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guĂ©ris. La supplication du juste a beaucoup de de saint Jacques, chapitre 5, versets 13 Ă  18. Bible de JĂ©rusalem © cerfPitiĂ© pour moi, Dieu, en ta bontĂ© PitiĂ© pour moi, Dieu, en ta bontĂ©, en ta grande tendresse efface mon pĂ©chĂ©, lave-moi tout entier de mon mal et de ma faute purifie-moi. rends moi le son de la joie et de la fĂȘte; qu'ils dansent les os que tu broyas. dĂ©tourne ta face de mes fautes, et tout mon mal, efface-le. Dieu, crĂ©e pour moi un coeur pur, restaure en ma poitrine un esprit ferme. rends-moi la joie de ton du psaume 51. Bible de JĂ©rusalem © cerfNe pleure pas si tu m'aimes Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le Ciel ! Si tu pouvais d'ici, entendre le chant des Anges et me voir au milieu d'eux ! Si tu pouvais voir se dĂ©rouler sous tes yeux les horizons et les champs Ă©ternels, les sentiers oĂč je marche ! Si, un instant, tu pouvais contempler, comme moi, la BeautĂ© devant laquelle toutes les beautĂ©s pĂąlissent ! Quoi ! tu m'as vue, tu m'as aimĂ©e dans le pays des ombres, et tu ne pourrais ni me revoir, ni m'aimer encore dans le pays des immuables rĂ©alitĂ©s ? Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisĂ© ceux qui m'enchaĂźnaient, et quand un jour que Dieu connait et qu'il a fixĂ©, ton Ăąme viendra dans le Ciel oĂč l'a prĂ©cĂ©dĂ©e la mienne, ce jour-lĂ , tu reverras celle qui t'aimait et qui t'aime encore, tu en retrouveras les tendresses Ă©purĂ©es. A Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse, infidĂšle aux souvenirs et aux joies de mon autre vie, je sois devenue moins aimante ! Tu me reverras donc, transfigurĂ©e dans l'extase et le bonheur, non plus attendant la mort, mais avançant d'instant en instant, avec toi qui me tiendra la main, dans les sentiers nouveaux de la LumiĂšre et de la Vie, buvant avec ivresse aux pieds de Dieu un breuvage dont on ne se lasse jamais et que tu viendras boire avec moi. Essuie tes larmes et ne pleure plus, si tu m'aimes. Saint Augustin. Le dĂ©cĂšs d’un ĂȘtre cher ne peut que nous affliger, mĂȘme dans le contexte de la foi chrĂ©tienne. Nous sommes de chair et d’os et certaines absences peuvent nous paraĂźtre insupportables. Il n’en demeure pas moins que, la premiĂšre rĂ©action passĂ©e, nos convictions spirituelles doivent reprendre leur place dans notre monde intĂ©rieur. Voici comment rĂ©agit saint Augustin Ă  cet Ă©tat d’esprit qui peut affliger tout croyant. Il s’agit d’une priĂšre pour les dĂ©funts oĂč le saint Ă©vĂȘque fait parler la personne disparue Si tu savais le don de Dieu et ce que c’est que le Ciel. Si tu pouvais d’ici entendre le chant des Anges et me voir au milieu d’eux. Si tu pouvais voir se dĂ©rouler sous tes yeux les horizons et les champs Ă©ternels, les nouveaux sentiers oĂč je marche. Si, un instant, tu pouvais contempler comme moi la BeautĂ© devant laquelle toutes les beautĂ©s pĂąlissent. Quoi! tu m’as vu, tu m’as aimĂ© dans le pays des ombres et tu ne pourrais ni me revoir ni m’aimer dans le pays des immuables rĂ©alitĂ©s! Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisĂ© ceux qui m’enchaĂźnaient et, quand un jour que Dieu connaĂźt et qu’il a fixĂ©, ton Ăąme viendra dans ce ciel oĂč l’a prĂ©cĂ©dĂ©e la mienne, ce jour-lĂ  tu me reverras, tu retrouveras mon affection Ă©purĂ©e. À Dieu ne plaise qu’entrant dans une vie plus heureuse, infidĂšle aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie, je sois devenu moins aimant. Tu me reverras donc, transfigurĂ© dans l’extase et le bonheur, non plus attendant la mort, mais avançant d’instant en instant avec toi dans les sentiers nouveaux de la LumiĂšre et de la Vie. Essuie tes larmes et ne pleure plus si tu m’aimes. » Citation tirĂ©e du livre La Force du Silence, du cardinal Robert Sarah, no 180 A propos moinillon Cet article, publiĂ© dans AmitiĂ©, DĂ©sespoir, Dieu, Foi, Mort, Souffrance, Vie Ă©ternelle, est taguĂ© DĂ©cĂšs d'un ami, La force du silence, Retrouvailles cĂ©lestes, Rober Sarah, Saint Augustin. Ajoutez ce permalien Ă  vos favoris. 3,20€ 14 en stock CARTE NE PLEURE PAS SI TU M’AIMES! + ENVELOPPE 160003 3,20€ quantitĂ© de CARTE NE PLEURE PAS SI TU M'AIMES! + ENVELOPPE 160003 UGS 9810160003 CatĂ©gories CARTE A TEXTE, Cartes, CartesCARTE A TEXTE Avis 0 Avis Il n’y a pas encore d’avis. Soyez le premier Ă  laisser votre avis sur “CARTE NE PLEURE PAS SI TU M’AIMES! + ENVELOPPE 160003” Votre note *Votre avis *Nom * E-mail * Produits similaires CARTE A TEXTE CARTE JE TE GARDE AU FOND DE MON COEUR+ENVELOPPE 6600073,20€ Cartes HEUREUSE RETRAITE ROSE3,10€ CARTE A TEXTE CARTE CREER LE MONDE+ENVELOPPE3,20€ CARTE A TEXTE CARTE AIMER IMMODEREMENT+ENVELOPPE3,20€ CARTE A TEXTE CARTE LA VIE+ENVELOPPE 6600013,20€ CARTE A TEXTE UN SOURIRE NE COUTE RIEN+ENVELOPPE 6600133,20€ CARTE A TEXTE CARTE LA JOIE+ENVELOPPE 160002 03443,20€ CARTE A TEXTE CARTE LE DEPART+ENVELOPPE 6600023,20€ C’est le jour d’halloween que tu nous as quittĂ©,Toi pour qui cette fĂȘte Ă©tait chargĂ©e d’opprobre ;J’ai toujours le cƓur lourd quand vient la fin octobreJe revois ta douleur et ton corps je revois ce trou, ta derniĂšre demeureComme a dit le curĂ© dans son trop long sermon,Que savait il de toi et de ton moi profondToi qui disais toujours la mort ce n’est qu’un rĂ©entends tes mots me dire si souvent Mais qu’importe le corps quand on sait que son ĂąmeVa s’envoler lĂ  haut et ce n’est pas un drameL’enfer c’est la terre, les anges sont le vent ».Bien sur par tradition nous fleurirons ta tombe ;Sur ta photo figĂ©e je te reconnais pas,Toi tu es prĂ©s de moi tu chasses les frimasEt de ma colĂšre tu dĂ©sarmes la m’as appris le bien tu m’as donnĂ© l’envieEt avec le recul c’est vrai que j’ai comprisQu’il existe ailleurs un monde dont le prixEst d’accomplir ici le tracĂ© de la quand l’obscuritĂ© a voulu me happer,Ta main m’a ramenĂ©e pour revoir notre terreMon prĂ©nom a claquĂ© comme un coup de tonnerre,Tes ailes m’ont portĂ©e et j’en ai Ă©crit Ă©tait dur mais je devais le fairePour allĂ©ger mon cƓur et sourire pour toiToi mon ange adorĂ© qui est toujours prĂ©s de moiQui me souffle les mots en cet anniversaire.A toi Mamy partie le 31/10/2001DĂ©but de la PriĂšre de St augustin ne pleure pas si tu m’a28/10/2007 La mort n'est rien. Je suis seulement passĂ© de l'autre cĂŽtĂ©. Je suis moi. Tu es toi. Ce que nous Ă©tions l'un pour l'autre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m'as toujours donnĂ©. Parle-moi comme tu l'as toujours fait. N'emploie pas un ton diffĂ©rent, Ne prends pas un air solennel ou triste. Continue Ă  rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Prie, souris, pense Ă  moi, prie avec moi. Que mon nom soit prononcĂ© Ă  la maison comme il l'a toujours Ă©tĂ©, sans emphase d'aucune sorte, sans une trace d'ombre. La vie signifie toujours ce qu'elle a toujours signifiĂ©. Elle est ce qu'elle a toujours Ă©tĂ© le fil n'est pas coupĂ©. Pourquoi serais-je hors de ta pensĂ©e ? Simplement parce que je suis hors de ta vue ? Je ne suis pas loin, juste de l'autre cĂŽtĂ© du chemin ... Tu vois, tout est bien ... Ne pleure pas si tu m'aimes. Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le ciel. Si tu pouvais d'ici entendre le chant des anges et me voir au milieu d'eux! ... Si tu pouvais voir se dĂ©rouler sous tes yeux les horizons et les champs Ă©ternels, les nouveaux sentiers oĂč je marche ! ... Si un instant tu pouvais contempler comme moi la BeautĂ©devant laquelle toutes les beautĂ©s pĂąlissent ! ... Quoi ! Tu m'as vu, tu m'as aimĂ© dans le pays des ombres et tu ne pourrais ni me revoir, ni m'aimer encore dans le pays des Immuables rĂ©alitĂ©s ? Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisĂ© ceux qui m'enchaĂźnaient, et quand un jour que Dieu connaĂźt et qu'il a fixĂ©, ton Ăąme viendra dans le ciel oĂč l'a prĂ©cĂ©dĂ©e la mienne, ce jour-lĂ  tu reverras celui qui t'aimait et qui t'aime encore, tu retrouveras son cƓur, tu en retrouveras les tendresses Ă©purĂ©es. Essuie tes larmes et ne pleure pas si tu m'aimes. texte attribuĂ© injustement? Ă  Saint Augustin

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